Pendant les cours de musique, les enfants scolarisés dans le collège de Saint-Ambroix (Gard), étudient et répète l’appel à la prière des musulmans. Apprenant le contenu de ces cours, les parents d’élèves veulent des explications.
Des parents sont tombés de l’armoire en apprenant le contenu de cours de musique de leurs enfants dans le collège Saint-Ambroix, près d’Alès. Les élèves ont reçu le pendentif en cours de musique un document sur le personnage de l’appel à la prière des musulmans. Très remontés, les parents ont demandé des explications à Mohamed Bouta, le principal du collège, qui s’est défendu maladroitement.
Il s’agit simplement d’une “distribution de texte sans explications ni commentaires des élèves en retour. Le professeur a commencé son enseignement par le plus polémique. Il a été créé par l’intermédiaire de l’appel à la prière , dans l’expliqué dans les colonnes du Midi Libre . Face à l’ampleur de la polémique, le principal à la demande aux enseignants de veiller à ce que la situation ne se reproduise pas.
Le rectorat saisi
Informé du problème, le recueil de la procédure de l’affaire, mais une politique de défense du professeur: “Cette démarche d’analyse et de réflexion menée en classe contribue à construire le raisonnement des élèves “. ” Sur le thème” musiques, mythes et religions “, le professeur a choisi les supports pédagogiques qui mettent en perspective plusieurs œuvres de différentes origines et de différents genres musicaux “, à-il poursuivi.
La colère de parents d’élève
Même si le document proposé aux enfants deux prières: une chanson de Gospel au recto et l’appel à la prière des musulmans au verso, certains parents sont révoltés. Un couple de parents d’un élève de 5 ème est amer: ” on a surtout été choqué par les conditions dans ça, ça a été fait. Il n’y a pas eu de débat. Dans le contexte actuel, de l’après Charlie, il faut des explications. On the que se dissocié le côté éducatif, du côté propagande. Les enfants de 12 ans n’ont pas encore toutes les questions clés pour aborder ces questions. Il s’agit d’un sujet délicat. En plus, on s’est demandé ce que ça venait faire en cours de musique. En histoire-géo, on aurait pu comprendre et encore. On se demande pourquoi c’est ce texte qui a été choisi “ , ont-ils dénoncé.