Les responsables de la marine américaine ont déclaré le porte-avion “Theodore Roosevelt” et le croiseur “USS Normandy” se dirige vers le Yémen pour rejoindre sept autres navires américains. A l’heure actuelle, neuf navires de guerre américains au total croisé aux abords de la frontière du Yémen. (Agence AP).
Sous couvert de l’anonymat, de la des Responsables americaine marine à l’CONFIE Ontario agence AP Que des NAVIRES de guerre Dépêches Americans avaient en direction Été du Yémen verser d’intercepteur Pouvoir LIVRAISONS d’armes éventuelles de l’Iran à destination des Rebelles houthis.
Pour le couper court à toute spéculation, un représentant du ministère de la Défense américaine a déclaré que ces deux navires de guerre, dont le porte-avions Theodore Roosevelt, n’avaient pas l’ordre d’intercepter une cargaison d’armes iraniennes. Il s’agit, selon lui, de la sécurité maritime dans la région.
Jusqu’à présent, l’engagement des Etats-Unis se limitait à fournir un soutien logistique à la coalition emmenée par l’Arabie saoudite pour combattre les rebelles houthis qui ont renversé le pouvoir qui était soutenu par les Etats-Unis.
Source: RTfrance
Les intérêts stratégiques des Etats-Unis de prendre le contrôle des Etats autour de la Mer Caspienne.
Depuis 1991, bien qu’aucun accord n’ait été convenu, la Russie, les États-Unis et l’Iran se disputent le contrôle de l’acheminement des hydrocarbures de la Mer Caspienne vers les marchés asiatiques et européens. Les principaux objets de convoitise dans cette région du monde sont composés du Turkménistan, du pétrole de la Mer Caspienne, de l’O de l’Ouzbékistan ainsi que du coton du Kirghizstan. De plus, il est à noter que sur un identifié d’importants gisements dans d’autres pays de l’ex-URSS, soit en Azerbaïdjan et au Kazakhstan. (Voir La militarisation de la Mer Caspienne )
En 1999 est inauguré un oléoduc entre Bakou et le port géorgien de Soupsa. C’est le premier construit hors du réseau russe, il est financé par les compagnies pétrolières américaines, et il entre alors en concurrence directe avec l’oléoduc russe Bakou-Grozny-Novorossiisk. Il est aujourd’hui complété par l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan, le “BTC”, qui transite par la Turquie en considérant la Russie. Là aussi, ce gazoduc est construit par un consortium dirigé par les entreprises américaines, et fonctionne depuis 2005.
Les intérêts américains dans cette région sont énergétiques, mais ils sont aussi stratégiques. Washington cherche à contrecarrer l’influence russe dans la région, en s’appuyant sur l’Ukraine et sur la Géorgie. Les États-Unis, en particulier poussé pour que la Roumanie et la Bulgarie réjouissent l’OTAN en 2004.
Espace stratégique pour la Russie, l’Europe et les États-Unis, la mer Noire est aussi un carrefour énergétique. Le transport du pétrole et du gaz est au coeur des rivalités de pouvoir dans la région, comme l’un encore révélé la guerre russo-géorgienne de l’été 2008, ainsi que la situation actuelle en Urkaine .